Danielle Simonnet

Députée de Paris, Nouveau Front Populaire

Prendre rendez-vous

En cas de problème individuel, Danielle Simonnet et son équipe sont disponibles pour échanger avec vous et vous soutenir. Uniquement sur rendez-vous les mercredis après-midi et vendredis matin !

Mes dernières actualités

20 novembre 2025Ce lundi 17 novembre, j’ai eu le privilège de vivre au Toutéla un moment d’intelligence collective rare : un atelier des lois mené avec les salarié·es de la Compagnie du 20ᵉ, pour imaginer comment pérenniser, étendre et renforcer l’expérimentation Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée (TZCLD). Une après-midi intense, émouvante, portée par une fierté collective : celle d’un quartier qui refuse la fatalité et invente des solutions. Le dispositif Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée dans le 20e : Le dispositif repose sur une conviction forte : personne n’est inemployable et chacun a droit à un emploi digne. L’idée est simple : le travail est un droit, il n’existe pas de personnes “inemployables”, seulement des emplois mal adaptés, et ce ne sont pas les travaux utiles qui manquent, mais leur financement. Dans le cadre de cette expérimentation, depuis 2021, La Compagnie du 20ᵉ propose donc aux personnes en chômage de longue durée un CDI pour exercer des activités utiles au territoire, non concurrentes de celles déjà présentes. Ces emplois sont conçus à partir des compétences et des envies des personnes, tout en répondant aux besoins concrets du quartier.Le projet a donné naissance à de nombreux lieux solidaires dans le quartier Fougères–Le Vau à l’image du Café des Liens pour se retrouver, La Parenthèse pour le répit parental, la Sourcière du 20ᵉ pour le réemploi et l’animation locale, ou encore le Toutéla, tiers-lieu culturel et solidaire où s’est tenu notre atelier. Partout, cette démarche se traduit par des emplois qui favorisent les échanges et la participation de chacun, répondent aux besoins des habitants et contribuent à la vitalité, à la solidarité et à la cohésion du quartier. L’atelier des lois L’atelier des lois a été une véritable expérience d’éducation populaire. Pendant plusieurs heures, nous avons exploré l’expérience concrète des personnes employées dans le cadre de Territoire Zéro Chômeur. Les salarié·es ont pu partager ce que signifiait pour elles et eux un emploi stable et utile, et comment cela transformait leur quotidien, leur confiance et leur place dans le quartier. Au fil de leurs réflexions, témoignages, anecdotes et échanges autour des limites et des priorités à inscrire pour le dispositif, mon équipe et moi avons en parallèle rédigé ce que pourrait être la loi destinée à prolonger et étendre l’expérimentation TZCLD, qui sera discutée à l’Assemblée nationale en janvier 2026. Au-delà de la dimension législative, cette rencontre a montré que la construction des lois peut et doit se faire avec celles et ceux qui vivent concrètement les dispositifs. C’est en partant du terrain et en écoutant les habitants et les salarié·es que nous pourrons créer des règles rendant le droit à l’emploi effectif et durable pour toutes et tous. Cette rencontre conviviale et forte, a renforcé ma conviction : Territoire Zéro Chômeur n’est pas seulement un projet économique et social, c’est un projet profondément humain, capable de changer des vies et de réinventer notre conception de l’emploi et de la solidarité. Merci à toutes et tous pour ce moment ! [...] Lire la suite…
5 novembre 2025Ce jeudi 23 octobre, pour la première fois dans le 20e, nous avons partagé un beau moment d’énergie et de solidarité en nous retrouvant, ensemble, en assemblée de femmes ! Nous, femmes, constatons qu’il existe encore trop peu de lieux où l’on puisse vraiment se rencontrer, échanger et se retrouver entre nous. Nous avons un rôle de premier plan à la fois dans la sphère privée, familiale, publique, associative et militante, pourtant nous sommes souvent invisibilisées. Nous avons donc souhaité créer un espace libre, solidaire et vivant, où chaque femme peut s’exprimer, apprendre, agir et tisser des liens. À l’initiative de Danielle Simonnet, députée du 20ᵉ, nous étions donc plus d’une cinquantaine à participer à cette première Assemblée. Ensemble, nous avons choisi de poursuivre cette belle dynamique autour de quelques envies simples : faire de l’Assemblée des femmes un espace vivant de sororité, de partage et de respiration, où chacune peut se sentir écoutée et soutenue ; agir concrètement en tissant des solidarités entre générations, parcours et luttes ; se former pour mieux connaître nos droits et renforcer notre pouvoir d’agir collectif ; enfin, faire entendre nos voix dans l’espace public, en rendant visibles les inégalités et en défendant haut et fort nos droits. Afin de se retrouver à nouveau pour continuer à bâtir cet espace vivant, fort et solidaire, c’est avec enthousiasme que nous invitons toute,  à notre prochaine assemblée qui aura lieu le jeudi 11 décembre dans un lieu que nous vous communiquerons bientôt. Gardons-nous fières ! [...] Lire la suite…
4 novembre 2025Le Premier ministre Lecornu avait promis de vraies ruptures avec les budgets de l’an dernier et des compromis avec les différents groupes d’opposition en vue de son adoption.  A l’arrivée, les budgets présentés sont les mêmes que sous Bayrou en pire et aucun compromis n’est à l’horizon pour taxer les riches.  Les très hauts revenus sont toujours aussi peu taxés et la taxe Zucman rejetée, bien qu’elle ait été adoptée l’an dernier dans la proposition de loi de Clémentine Autain et Eva Sas. Pour défendre les milliardaires et les cadeaux aux grandes entreprises, payés par les plus modestes et la casse des services publics, on assiste à l’alliance des droites et de l’extrême-droite.  Cette stratégie s’est d’ailleurs illustrée lors de la journée de niche du RN. Pour la 1ère fois, un texte du RN a été adopté, avec le soutien de LR, d’Horizons le parti d’Edouard Philippe, et grâce à l’absence des ⅔ des députés macronistes. Il suinte la revanche des nostalgiques de l’OAS et ne vise qu’une chose, diviser le peuple et attiser le racisme sur le dos des près de 5 millions de franco-algériens.  Le temps file et il est possible que le budget ne soit pas adopté avant le délai imparti, permettant au gouvernement par le biais d’ordonnances de faire ce qu’il veut et d’imposer sa politique même sans 49-3. Alors reste le récit : qui portera la responsabilité de ce fiasco ? C’est dans ce contexte que le Premier Ministre a sorti de son chapeau la proposition d’une réunion avec les représentants de tous les groupes politiques, RN compris. Elu.es sur une stratégie claire contre l’extrême-droite, nous avons refusé de participer à ces discussions.  Nous continuons de défendre qu’un tout autre budget est possible et restons prêts à en discuter avec le gouvernement s’il acceptait enfin un compromis favorable à la justice sociale et écologique.  [...] Lire la suite…
16 octobre 2025J’ai voté la censure avec mes collègues députés de l’APRES et avec la quasi-totalité du groupe écologiste et social. Hélas, elle n’a pas été adoptée, le PS ayant décidé de ne pas la voter. Je le regrette et je félicite le courage des deputé.es socialistes qui l’ont quand même votée. Mais le combat continue, contre les budgets d’austérité de Macron-Lecornu et en faveur de l’unité, pour que l’extrême-droite ne gagne pas le prochain rendez-vous aux urnes.  Si toutes les composantes du NFP l’avaient votée, le gouvernement Lecornu 2 serait tombé.  Le chantage de Macron qui déclarait que toute motion de censure serait une motion de dissolution a donc opéré en partie, certains craignant la possible victoire de l’extrême-droite en cas de retour aux urnes. N’hésitons pas à le répéter, une motion de censure ne provoque pas mécaniquement une dissolution de l’Assemblée nationale : il revient au Président de la République de décider de nommer un ou une nouveau Premier ministre ou de dissoudre. Continuons sans relâche à exiger que Macron cesse son déni démocratique et nomme un ou une première ministre de gauche conformément aux résultats des urnes de juillet 2024.  L’engagement de suspendre la réforme des retraites est un premier recul du gouvernement arraché par le mouvement social. Mais c’est une victoire fragile et relative, voir un mensonge et une manœuvre : seules 300 000 personnes seront concernées en gagnant 3 mois, tandis que plus de 17 millions de retraités vont voir leur pouvoir de vivre diminuer du fait du gel des pensions prévu dans le Projet de loi de finance de la sécurité sociale. Le gouvernement a d’ailleurs bien annoncé la couleur : ce sont les travailleurs qui paieront la facture de la non application de la réforme. La suspension se fera par un amendement du gouvernement au PLFSS. Ce qui signifie qu’il faudrait voter ce texte inacceptable qui aggrave et étend les franchises médicales pour obtenir cette suspension ! Et il faudrait que par la suite, ni le Sénat, ni une commission mixte paritaire, ni le conseil constitutionnel s’y oppose ! Pire, le gouvernement veut en profiter pour réimposer le débat en faveur de la retraite à points ou par capitalisation. La mobilisation unitaire syndicale et politique sera déterminante, avec comme objectif l’abrogation totale de cette réforme toujours inacceptable !  Le renoncement au 49-3 est une victoire démocratique. Nous allons pouvoir batailler amendement par amendement sur le projet de loi de finance (PLF) pour défendre des recettes taxant les riches et superprofits, comme la taxe Zucman sur le patrimoine des 18000 détenteurs d’un patrimoine de plus 100 millions d’euros. Concernant les dépenses, il faudra contrer les coupes sanglantes dans le budget des collectivités, des services publics, du logement, de la transition énergétique, des associations et j’en passe. Mais ne soyons pas naîfs, au bout du bout des débats, il y a fort à parier que le gouvernement tentera de passer en force ses choix budgétaires contre le Parlement, quitte à user des ordonnances.  La question de la censure va donc inévitablement se reposer et avec elle, celle d’exiger de nouveau un gouvernement de gauche ou d’être prêt à affronter une dissolution.  Je suis pleinement consciente que vous toutes et tous, l’électorat de gauche en général, est divisé entre celles et ceux qui veulent que Macron parte et celles et ceux qui craignent la victoire du RN en cas de dissolution. Ayons néanmoins conscience que seule l’unité du peuple de gauche, l’unité de ses forces politiques et syndicales, engagées dans les mobilisations à venir contre Macron et ses politiques, pourra faire reculer le RN.  Alors, force et courage et continuons le combat !  [...] Lire la suite…
10 octobre 2025Décembre 2026.  C’est la date limite jusqu’à laquelle le gouvernement a pour transposer la directive européenne du 14 octobre 2024 sur les travailleurs des plateformes, un texte européen fondamental à l’heure de l’ubérisation et de la casse organisée du salariat. Le travail de plateforme concernait, en 2023, quelque 600.000 travailleurs sous statut d’auto-entrepreneurs payés à la tâche sans qu’aucune plateforme ne prenne ses responsabilités en matière de prévention des risques professionnels, du versement des cotisation sociales, de possibilité d’une représentation syndicale ou tout simplement du respect d’un salaire minimum. Si les chauffeurs VTC, les taxis et les livreurs ont été les premiers à subir le modèle des “plateformes numériques de travail”, celles-ci pullulent aujourd’hui dans tous les secteurs de l’économie. On en trouve dans le tourisme, le BTP-bricolage, le déménagement, l’enseignement de la conduite motorisée, les aides-soignants, les agents de ménage, la restauration, le secteur funéraire, et bien d’autres encore.  Après plusieurs années de négociations au niveau européen, cette directive vient finalement mettre un terme à cette dérégulation généralisée et représente une rare fenêtre de progrès social.  Une fenêtre que la France d’Emmanuel Macron pourrait volontairement refermer. Si celle-ci est tenue d’appliquer la directive d’ici décembre 2026, elle pourrait ne pas le faire et gagner quelques années ou le faire sans en respecter l’esprit, avant que des recours ne viennent la condamner.  Nous nous sommes donc réunis à la maison des coursiers de Paris avec des syndicalistes, juristes, collectifs et travailleurs uberisés, ainsi qu’avec Leila Chaibi, eurodéputée insoumise impliquée dans la bataille pour cette directive, et mes collègues sénateurs Pascal Salvodelli (Communiste) et Olivier Jacquin (Socialiste), pour travailler ensemble à une transposition ambitieuse (car oui, la France doit transposer à minima, mais elle peut aller beaucoup plus loin).  Nous nous sommes accordés sur les exigences que nous posons :  une‬‭ présomption‬‭ de‬‭ salariat‬‭ effective‬‭ et‬‭ efficace‬‭ sans‬‭ aucune‬‭ alternative‬‭ permettant‬‭ aux‬ plateformes d’échapper à leurs  obligations‬ d’employeurs ; l’inversement de la charge de la preuve (de salariat) incombant aux plateformes : si les plateformes contestent que leurs travailleurs leur sont subordonnés, à elles de démontrer que ce sont de vrais indépendants. ‬‭la‬‭ requalification‬‭ systématique‬‭ du‬‭ faux‬‭ statut‬‭ d’indépendant‬‭ en‬‭ salariat,‬‭ avec‬‭ contrat‬‭ de‬ travail, interdiction de rupture du contrat par clic et rétroactivité des droits à la protection sociale‬ ; ‬‭le‬‭ contrôle‬‭ des‬‭ conditions‬‭ de‬‭ travail‬‭ par‬‭ une‬‭ autorité‬‭ nationale‬‭ compétente,‬‭ soit‬‭ l’inspection‬ du Travail actuelle ;‬ la‬‭ régularisation‬‭ des‬‭ travailleurs‬‭ sans‬‭ papiers‬‭ et‬‭ l’extension‬‭ des‬‭ preuves‬‭ de‬‭ travail‬‭ en‬‭ France‬ aux factures d’auto-entrepreneurs ;  ‬‭la‬‭ transparence‬‭ de‬‭ la‬‭ gestion‬‭ algorithmique‬‭ des‬‭ travailleurs,‬‭ avec‬‭ droit‬‭ de‬‭ regard‬‭ des‬ organisations syndicales ;‬ l’arrêt des décisions automatisés quand elles ont une importance pour le travailleur. [...] Lire la suite…
9 octobre 2025A l’origine, le déni démocratique La crise politique que nous traversons est à son comble et a été provoquée par le déni démocratique des élections législatives de 2024. Le gouvernement Lecornu n’aura pas tenu 24h ! Macron porte l’entière responsabilité du chaos. Après avoir dissous l’Assemblée nationale, il aurait dû nommer Lucie Castets Première ministre du NFP et respecter ainsi les 9 millions d’électrices et d’électeurs qui ont soutenu le programme unitaire de rupture. Mais il s’est obstiné, avec ses gouvernements successifs, à imposer coûte que coûte sa politique antisociale et anti écologique et ses budgets d’austérité à coup de 49-3, malgré toutes nos mobilisations.  Accompagnant cette dérive autoritaire, nous voyons également un grand renversement s’opérer des plus inquiétants. Tournant la page du barrage républicain contre l’extrême droite, la droite LR semble prête à s’engager dans un barrage réactionnaire : battre la gauche quitte à s’allier avec le RN, telle serait la nouvelle stratégie défendue par Retailleau. Au vu des attaques inouïes de Trump de l’autre côté de la Méditerranée, chacune et chacun peut mesurer la gravité de la période que nous traversons.  Pendant ce temps, le peuple trinque. Les salaires trop bas, les loyers trop hauts, l’accès à la santé qui se dégrade, les enjeux climatiques aggravés. Les trois journées de mobilisation des 10 et 18 septembre et du 2 octobre témoignent d’une colère forte contre cette politique qui fait payer aux travailleurs, retraités, étudiants et chômeurs la facture des cadeaux faits aux plus riches et tente de diviser le peuple en attisant la haine de l’autre par le racisme.   Gouvernement de gauche, dissolution ou démission ? Voici les 3 cartes dont dispose Macron. La gauche et les écologistes doivent dans un tel contexte assumer de prendre leur responsabilité et celle-ci exige l’unité. L’APRÈS, avec Génération.S Debout et les Écologistes, à participé à 2 réunions unitaires de travail importantes, l’une pour réaffirmer l’enjeu de l’unité autour du programme NFP en cas de dissolution et l’autre, sur le fait que nous sommes prêts à gouverner à gauche. C’est une première étape, d’autres réunions se tiendront. Nous souhaitons que ces démarches réouvrent un chemin d’espoir !  Le PS doit intégrer la 1ere réunion pour faire barrage au RN ! Aucune exclusive contre quelque force du NFP ne doit avoir lieu. C’est une condition essentielle pour reconstituer une dynamique populaire et battre la macronie et l’extrême droite. Si la dissolution est annoncée d’ici la fin de la semaine, nous devons être prêt.es !  La FI doit intégrer la 2ème réunion et assumer l’enjeu d’un gouvernement de gauche. S’il y a dissolution et que le résultat des urnes aboutit au maintien de la tripolarisation politique à l’Assemblée, sans majorité absolue pour le NFP, que se passera-t-il ? Pourquoi avoir défendu au lendemain des élections de 2024 un gouvernement NFP et ne pas le revendiquer aujourd’hui ? Bien sûr, ce gouvernement devra composer avec la réalité du rapport de force dans l’hémicycle et tenter d’obtenir, texte par texte et sans 49-3, des compromis qui améliorent la vie des gens. Nous savons déjà qu’une majorité pourrait abroger la réforme des retraites et adopter définitivement le projet de loi Zucman défendu par Clémentine Autain et Eva Sas. Et par décret ce gouvernement pourrait enfin augmenter le smic, dégeler le point d’indice des fonctionnaires, annuler les mesures de la loi Duplomb. Même s’il doit subir une censure, ce gouvernement de gauche pourrait faire la démonstration qu’une toute autre politique est possible !  Et si Macron démissionne ? Alors que l’extrême droite est aux portes du pouvoir, s’engager sur une candidature unitaire à gauche est un impératif ! A l’initiative de Lucie Castets, depuis le 2 juillet dernier, des réunions se tiennent entre les composantes du NFP qui souhaitent trouver le chemin unitaire pour la présidentielle. Hélas, la FI et Jean Luc Mélenchon refusent depuis le début d’y participer. Ni Mélenchon, ni Glucksmann ne peuvent battre l’extrême droite. L’un, autoproclamé, devient un repoussoir, l’autre par son orientation libérale, contraire au programme du NFP. Par l’organisation d’une primaire ou d’un conclave si le temps manquait, la gauche doit pourtant réussir à se mettre d’accord sur une seule candidature pour l’emporter. En juin 2024, la mobilisation de la jeunesse, des syndicalistes, des associatifs et de nombre de collectifs avait mis la pression sur les appareils pour arracher cette unité. Cette pression populaire doit être renouvelée !  L’unité est un combat, que la FI et le PS comprennent enfin sa nécessité absolue !Pour discuter de tout cela, j’invite toutes les forces du NFP de la 15e circonscription et les habitant.es du 20e à venir en débattre et passer à l’action : Retrouvons-nous ce mardi 14 octobre à 19h, au 2 rue Eugène Reisz (préau de l’école) dans le 20e. [...] Lire la suite…

Je m’inscris à la newsletter

Inscrivez-vous ci-dessous pour recevoir la newsletter hebdomadaire de Danielle Simonnet

Retour en haut